I will carry your pain
Lorsque j’effleure ma peau et que je sens la rugosité j’ai envie de la craquer et la scinder en deux, mais mon imagination ne trouve jamais sa place dans l’ordre. Alors je me sens comme un chien errant entre les rails d’un tramway sur le point de passer à l’intersection. Le son de cloche de mon téléphone est le seul lien/lieu existant qu’il me reste (refuge à la cannelle), il m’évoque ta présence mais pas ton odeur que je ne retrouve nulle part dans ses rues. Les sentiments persistent en moi et le sujet seule s’envole pendant un court instant. Pourtant je me sens comme un passant errant, une personne volatile qui n'a plus aucun penchant. OH ce n'est pas tout à fait vrai car il me reste mon inclination envers toi appareil électronique qui me rapproche chaque jour de ce que l'on nomme "brain rot" conduisant vers un totalitarisme émotionnel... Si seulement je n'avais pas connaissance de ce terme et de son implication dans mon quotidien je pourrai devenir absolum...